Des médecins se lèvent contre les vaccins Covid-19

Des médecins de renom contestent désormais l’utilité de la campagne de vaccination massive à ARNm avec rappels multiples et pointent les dangers pour la population de vacciner avec un vaccin peu immunisant en période épidémique…A ce titre le passe vaccinal en plus d’être discriminatoire et attentatoire aux libertés semble être dangereux pour la santé des Français en les obligeant à se faire vacciner s’ils veulent continuer à avoir une vie sociale, se déplacer et travailler au regard des faits dévoilés par ces médecins, professeurs, généticiens et virologues…

Les vaccins « créent/favorisent certains variants »

Plusieurs grands scientifiques comme le professeur Luc Montagnier affirmaient depuis déjà quelques mois que les vaccins créaient des variants.

Ainsi le 11 mai 2021, le Professeur Luc Montagnier prix Nobel de médecine co-découvreur du virus du SIDA déclarait : « C’est très simple les variants viennent des vaccinations. La vaccination est une énorme erreur scientifique et une faute médicale. C’est inacceptable. Les nouveaux variants sont la production la résultante de la sélection due à la vaccination». Combien l’on écouté en mai pour se rendre compte avec la rapidité d’arrivée du variant Omicron qu’il avait raison?

Comme on le voit avec Omicron les vaccins «ne sont pas capables de prévenir l’infection et la transmission»

Geert Vanden Bossche explique dans cette vidéo : « les vaccins que l’on utilise ne sont pas capables de prévenir l’infection et la transmission. Donc il ne faut pas les utiliser pendant une pandémie et avec un virus qui peut muter. La réponse immunitaire doit être totalement établie avant de se rendre aux champs de bataille…».

En effet, l’objectif des vaccins est de supprimer la circulation du virus par l’immunité, dans le cas actuel le virus circule en masse dans la population malgré la vaccination ce qui crée des variants. On a compté 232200 cas le 31/12/2021 en France, du jamais vu depuis le début de l’épidémie.

Omicron semble plus toucher les vaccinés « avec le phénomène des anticorps facilitants »

Selon Kaarle Parikka la pression des vaccins va donc favoriser des variants s’attaquant aux vaccinés ou aux guéris. C’est ce qui semble se produire avec le variant Omicron : selon l’Institut allemand Robert Koch 95,58% des cas Omicron en Allemagne sont totalement vaccinés. Il y a donc une sur-représentation des vaccinés chez les cas positifs alors que les vaccinés ne représentent que 71,1% de la population. Au Royaume-Uni au 28 décembre 89% des contaminés Omicron et 74% des patients hospitalisés sont vaccinés. Au Danemark, en Islande les vaccinés sont également sur-représentés parmi les cas positifs.

Selon l’Office National des Statistiques anglais. Les triples vaccinés ont 4,5 fois plus de chance d’être positifs au variant Omicron que les non vaccinés .« Cela signifie que la vague Omicron est principalement une épidémie de vaccinés deux ou trois doses » estime un journaliste.

Pourquoi les vaccinés seraient-ils plus susceptibles d’être infectés ? L’explication à encore est simple.

Il y a eu des précédents de vaccins entrainant des ADE dont le vaccin Dengvaxia de Sanofi

Un scandale énorme avait d’ailleurs entaché Sanofi pour son vaccin contre la Dengue en 2018 avec le vaccin Dengvaxia. Ce vaccin avait été autorisé très rapidement dans l’UE. Des légistes avait étudié le corps de 103 enfants aux Philippines suite à des plaintes. Ils avaient alors constatés : « des hémorragies internes, notamment au niveau du cerveau et des poumons… et des organes enflés ». Comme les vaccins à l’ARNm, le Dengvaxia avait été annoncé à l’époque comme révolutionnaire.

Pourquoi les vaccins semblent ne pas protéger contre l’infection et laissent circuler le virus?

Un collectif de médecins internationaux «Doctors for Covid Ethics» explique dans cet article pourquoi les vaccins actuels laissent circuler le virus.

Cet article a été rédigé par le Dr Arne Burkhardt une pathologiste qui a enseigné aux universités de Hambourg, Berne et Tübingen et le Dr Bhakdi rédacteur en chef de Medical Microbiology and Immunology, l’une des premières revues scientifiques de ce domaine, fondée par Robert Koch en 1887. Il a présidé l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence, en Allemagne, de 1990 jusqu’à sa retraite en 2012.

L’explication de leur faible efficacité est très simple : « une erreur fondamentale à la base du développement des vaccins COVID-19 a été de négliger la distinction fonctionnelle entre les deux grandes catégories d’anticorps que le corps produit pour se protéger des microbes pathogènes.

Des boosters dangereux pour l’immunité?

Certains scientifiques vont même plus loin et s’interrogent désormais quant au danger de ces vaccins et surtout des boosters pour le système immunitaire.

Alexandra Henrion-Claude, généticienne spécialiste des maladies génétiques et de l’ARN non codant, cite cette étude montrant que des maladies auto-immunes systémiques peuvent être la conséquence inévitable de la sur stimulation du système immunitaire.

L’immunité de groupe piégée par ces vaccins?

Vacciner en masse toute la population avec des vaccins ne prévenant pas l’infection, est contre-productif selon Geert Vanden Bossche. «Plus l’immunité de la population monte plus le virus va être sous contrôle. Est-ce que l’on peut atteindre cette immunité de groupe par les vaccins? Non justement parce que ces vaccins ne sont pas capables d’éviter ou de prévenir l’infection et donc la transmission du virus…et donc ils font exactement l’opposé de l’immunité de groupe qui devrait faire en sorte que le taux d’infection diminue» explique-t-il.

Comme on le voit avec l’explosion des cas due au variant Omicron, le virus n’a jamais autant circulé ce qui est très dangereux car de nouveaux variants pourraient encore se créer.

Selon des médecins les vaccins à ARNm risquent « d’entrainer des réactions/pathologies auto-immunes chez les enfants et les adultes »

« Les anticorps vaccinaux ont plus d’affinités pour le virus que les anticorps innés. Si on vaccine les enfants les anticorps vaccinaux vont entrer en compétition avec les anticorps innés. On va remplacer une immunité naturelle très très puissante qui couvre plus qu’un seul virus et tous les variants par une immunité qui devient de moins en moins fonctionnelle. Les anticorps innés sont mis hors-jeu cela veut dire également que les enfants risquent de perdre leur protection naturelle contre par exemple la grippe. Ces anticorps innés ont de plus un effet protecteur contre la maladies auto-immunes. Cela veut dire que quand on les met hors jeu, il y a risque de voir de plus en plus de maladies auto-immunes chez l’enfant» assure Geert Vanden Bossche.

« On ne va pas vacciner les enfants contre un rhume » déclarait le Professeur Caumes sur CNEWS récemment. Et pourtant…

En plus de ces risques de maladies auto-immunes chez l’enfant, les médecins Sucharit Bhakdi, MD et Arne Burkhardt estiment que «les vaccins « peuvent déclencher une autodestruction».

Ils expliquent ainsi les nombreux effets secondaires des vaccins à ARNm : « chez la plupart des individus, une infection naturelle par le SARS-CoV-2 reste localisée dans les voies respiratoires.

Des rappels multiples à haut risque pour la santé ?

Parmi les effets secondaires des vaccins le Professeur Jean-Marc Sabatier cite : « des thromboses, des thrombocytopénies, des myocardites et péricardites, des maladies auto-immunes par exemple des diabètes, de l’hémophilie acquise, des thyroïdites de Hashimoto, des scléroses-en-plaques, des sclérodermies, des polyarthrites rhumatoïdes, et autres. Ainsi de nombreuses maladies auto-immunes apparaissent ou s’aggravent. Idem pour les cancers et troubles neurologiques ».

45000 effets indésirables avec tous les médicaments chaque année en France, 110000 rien qu’avec les vaccins Covid-19 !

La Directrice Générale de l’ANSM,l’Agence Nationale des Sécurités des Médicaments en France a alerté les parlementaires au Sénat d’une explosion des effets indésirables des vaccins anti covid et de la sous-déclaration des effets secondaires au niveau de la pharmacovigilance. « Nous sommes normalement à 45000 effets indésirables tous médicaments confondus alors que là, pour les seuls vaccins Covid-19, nous sommes à 110000 » a-t-elle assuré. En Autriche on a vu le nombre de demandes d’indemnisation des vaccins croître d’un facteur x37 : myocardites, thrombose, crises cardiaques et infarctus cérébraux…

Sachez par ailleurs que 4 décès sur 5 au Royaume-Uni sont parmi les vaccinés selon les données officielles, soit 77% des décès Covid pour les vaccinés et 23% pour les non vaccinés. Le Royaume-Uni est connu pour avoir les données publiques parmi les plus transparentes. Si ce vaccin immunisait il ne devrait pas y avoir de malades et d’autant moins de décès Covid chez les vaccinés comme l’a indiqué le Professeur Claverie.

A l’heure où l’on connait tous ces faits, la simple évocation du pass vaccinal devrait être rejeté en masse sur des critères scientifiques. D’autant que le passe vaccinal ignore les guéris du Covid alors que l’on sait que l’immunité conférée par la guérison naturelle est bien plus globale et dure plus longtemps que l’immunité conférée par le vaccin. L’immunité naturelle protège 13 fois plus d’une réinfection que celle celle des vaccinés. Le risque était également bien plus fort pour les cas symptomatiques chez les vaccinés.

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