En février, plusieurs séries font leur grand retour, telles que Vikings et son spin-off Valhalla, Désenchantée, la série heroic fantasy de Matt Groening, ou encore Space Force, qui avait pourtant peiné à convaincre lors de sa première saison. Mais le retour le plus attendu par les cinéphiles est certainement celui sur nos écrans de Jean-Pierre Jeunet, dont le nouveau long-métrage BigBug s’annonce aussi décalé que le reste de sa filmographie. La vie rocambolesque d’Anna Sorokin devrait elle aussi nous tenir en haleine dans la série Inventing Anna, signée Shonda Rhimes. Et au-delà de février, les abonnés de Netflix pourront toujours visionner leurs films préférés en un temps record grâce notamment au nouvel accord sur la chronologie des médias.
L’événement du mois : Vikings: Valhalla, le 25 février
Après avoir tenu en émoi ses nombreux fans, et quelque peu lancé une mode autour de ses principaux protagonistes, Vikings revient sous la forme d’une série dérivée, sobrement baptisée Valhalla. L’action se déroule un siècle après les événements des six saisons d’origine, et se concentre cette fois sur quelques-unes des plus célèbres figures de l’histoire des Vikings, telles que Leif Erikson, Freydis Eiriksdottir, Harald Hardrada ou le roi Guillaume le Conquérant.
Inventing Anna, le 11 février
Inventing Anna revient sur le parcours invraisemblable d’Anna Sorokin, une jeune femme russe s’étant fait passer pour une héritière allemande à New York, au point d’escroquer aussi bien la jeunesse dorée locale que les banques pour vivre une vie de rêve dans la Grosse Pomme. Cette histoire rocambolesque n’a pas attendu longtemps — les faits ont commencé en 2016 — avant d’être repérée par une journaliste du New York Magazine, dont l’enquête a servi de base à cette adaptation.
BigBug, le 11 février
Cela faisait près de dix ans que l’on avait pas eu de nouvelles de Jean-Pierre Jeunet, le fantasque réalisateur français très apprécié outre-Atlantique, à l’œuvre sur des films aussi variés que Amélie Poulain, Micmacs à tire-larigot ou Alien quatrième du nom. Le voilà donc de retour sur Netflix, pour un film dont aucun studio n’a voulu et qui va venir garnir un peu plus la vitrine du service américain.
Commentaires récents